Hello world
Il était une fois, sur les internets, au détour d'une page web…
-
“Tiens, salut visiteur !
-
Oh, mais non, me voilà encore sur un énième blog sur le running. Comment j'ai fait pour me retrouver là moi…
-
Toutes mes excuses visiteur !
Effectivement, tu as entièrement raison : tu es sur un blog qui va (encore) parler de course à pied. Pour tout te dire, j'avais aussi l'idée de partager ma passion pour les tapis, mais ‘Slowly We Rug’ était déjà pris*. Donc déso, ça sera running cette fois. -
Bon, bah maintenant que je suis là… Raconte-moi tout !
-
Ok, mais c'est vraiment parce que tu insistes ! Eh bien, ‘Slowly We Run’ c'est un blog sur le running qui sera principalement (et probablement entièrement) alimenté par moi, Colin, joggeur de milieu de peloton et amateur de terrains boueux.
-
Attends, mais tu comptes utiliser “running” ou “course à pied” ?
-
Whatever works.
-
Oki doki, mais… du coup, ça va causer de quoi ton blog ?
-
Bonne question… On va parler running, tu t'en doutes, mais aussi de plein de choses qui gravitent autour : de bouquins qui m'ont plu, de circuits que j'ai empruntés, de mes sorties de la semaine, de musique si le cœur m'en dit, et puis même de bouffe, pourquoi pas ! Bref, deux trois trucs qui touchent de près ou de loin ce sport qui me fait me lever tôt le dimanche matin (pour ceux du fond qui n'ont pas suivi, oui, je parle bien de course à pied, pas de foot, et encore moins de chasse). En tout cas, ici peu de chances que tu trouves des plans d'entraînements, ou encore des analyses scientifiques sur la meilleure V02 max en fonction de la lune, déjà parce que bon, je suis loin d'être professionnel sur la question, et surtout, ce ne sont pas vraiment des sujets qui me font vibrer.
-
Mouais, d'acc… Et c'est quoi ce nom chelou ?
-
C'est très simple, c'est d'abord un hommage à l'album Slowly We Rot d'Obituary, parce que je suis un metalhead de longue date. Aussi, je l'aime bien parce qu'il rend hommage au plaisir de flâner, et parce que je trouve qu'à force d'essayer d'aller vite, on en oublie de regarder le paysage, et c'est pourtant ça qui nous fait lever de nos chaises : les cygnes de l'étang d'à côté, les sapins au coin de la rue, les rocheuses qui nous coupent les tibias. Donc je me dis qu'au fond, c'est peut-être de ça dont il s'agit : courir moins vite, lever le nez de nos montres, oublier nos allures, et juste savourer le mouvement. Mais bon, soyons franc, c'est aussi que je ne suis pas un coureur hyper rapide !
-
C'est tout ce que j'ai à savoir, je peux repartir ?
-
Il paraît que j'ai :
-
OK bon, ça m'a l'air bien sympa tout ça… Je reviendrai !
-
Top, content que ça te plaise ! Et à bientôt !”
* Non, ce n'était pas pris.